constat

Les métiers de la construction représentent 20% des émissions de GES, entre les transports et l’agriculture. La construction « Hors Site » devient un potentiel d’amélioration très important pour concevoir et réaliser des constructions plus vertueuses.

Dans le domaine de la Santé, comme dans la construction en général, le contexte économique, associé au digital et à l’industrialisation, nous amène à questionner les habitudes et les façons de faire ancestrales pour mieux répondre aux besoins et aux attentes.

Nous faisons souvent l’amalgame entre la construction modulaire « bas de gamme » et l’industrialisation de la construction. La construction hors site peut aller du simple panneau préfabriqué jusqu’aux modules intégralement finalisés en atelier, en passant par les salles de bains préfabriquées. Le taux de préfabrication (ou industrialisation) est à définir selon chaque projet et les matériaux mis en œuvre peuvent-être le bois comme le métal ou le béton, ou un combiné.

la construction hors site et l’architecture

La valeur ajoutée en préfabrication est la part de tâches réalisées en atelier. Plus cette valeur ajoutée est importante, plus les gains apportés par la construction « hors-site » sont significatifs, mais la conception doit être adaptée à ces principes.

Quels sont les changements structurels et organisationnels à mettre en œuvre, pour construire mieux, plus vite et sans perte de qualité ?

la preuve par l’exemple

Présentation d’un projet d’EHPAD neuf de de 90 lits à Monthyon (77). Le bâtiment est un R+2, conçu comme un bâtiment modulaire Hybride, il fait le pari d’une réalisation qualitative, sans concession architecturale liée à sa technicité ou sa mise en œuvre.